• Les problèmes


      Les problèmes

    Ah ! Encore des problèmes ! (Souriez d’or et déjà pour les faire s’envoler.)

     

    L’être humain est attaché et habitué à rechercher des solutions pour les problèmes et il ne pense qu’à cela, ce qui fait qu’il baigne dedans. Regardons à l’école ; tout petit déjà, on inonde les enfants de problèmes. Si l’on s’efforçait de penser à l’inverse « les belles choses », il n’y aurait plus de problème. Cela peut vous paraître ridicule, mais c’est bien réel. Parce qu’en pensant aux problèmes on les nourrit. On leur donne une valeur, une existence et une vie. Donc ils seront toujours là, tant qu’on leur donnera une valeur (il s’agit encore de vibration).

     

    D’une question qui peut paraître très complexe et gravissime, si on lâche prise sur sa valeur, elle ne sera plus grand-chose.

     

    Les problèmes

    Je comprends bien que dans l’enseignement on doive donner des problèmes à résoudre aux enfants. Mais ce n’est pas sur ce plan que je discute. Quand on donne par exemple un problème de mathématiques à un enfant, ce qu’on ne voit pas, c’est que souvent la réaction est l’« angoisse » et donc, l’aspect négatif. On lui apprend à travailler le négatif avec l’angoisse, et c’est une énergie qui peut être marquante et demeurer en l’être humain. Il finit par s’attacher et rechercher le mauvais pour réparer ou encore en avoir peur et s’angoisser. Et, à la longue, il s’engouffre dans cette schématique inconsciente. Quand tout va bien, il cherche toujours ce qui ne va pas : « le problème ». Et cela devient une nourriture pour lui durant toute sa vie.
     
    Il faut simplement arrêter de penser au mal et le nourrir.
     
    Quand l’homme comprendra que ses pensées sont créatrices, il commencera à faire attention à ce qu’il a dans la tête.

     

    Quand on pense, c’est déjà créer dans l’au-delà. Et quand on en parle, on le manifeste dans la matière suivant les capacités créatrices de chacun ou du groupe.
    Ne blâmons pas l’être humain en disant qu’il est fautif de ce qui lui arrive. Toujours est-il, son état intérieur est la source de ses propres problèmes. En fait, il n’y a rien à juger. Personne n’est parfait. À quelques exceptions près, tout le monde est là pour apprendre. Chacun est en ce monde, à son école et à sa classe ; donc rien n’est à juger. Pourriez-vous juger un enfant de cours préparatoire parce qu’il n’a pas la conscience d’un élève de faculté ? Eh bien c’est le même rapport. Certains arrivent en ce monde avec une conscience hautement évoluée, et d’autres, plus ou moins immature. Mais, en définitive, chacun est là pour la même chose : évoluer.

     

    L’être humain s’incarne sur cette terre spécifiquement pour traiter les problèmes qu’il a gardés en son être intérieur, sa conscience. C’est ce qui reste de lui quand il quitte ce monde. Et, pour sa future réincarnation, il a déjà préparé sa nouvelle vie et ses expériences suivant son nouveau zodiaque et sa nouvelle famille – entre autres points. Ses épreuves, il les a aussi choisies pour son élévation, mais elles n’arrivent qu’au cas où il ne parviendrait pas à s’élever de lui-même par le bien. Quelle que soit l’épreuve endurée, elle se présente pour que l’homme se surpasse et s’élève. L’homme doit dépasser ses problèmes de fond quels qu’ils soient, pour ne plus les retrouver et pouvoir passer à autre chose. En pratique, quand l’épreuve arrive, l’homme se tait ; il se fait tout petit, il s’humilie. Puis, s’il veut se relever de son enfer, il cherche différents chemins pour s’en sortir, s’élever et grandir.

    (extrait de chapitre du livre : Une Nouvelle Conscience UN NOUVEAU MONDE)

     

     

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